Pour notre voyage de noces, avec ma douce, on est partis à Bangkok deux semaines, dont cinq jours passés à Koh Samet, une île paradisiaque située à 3 heures à peine de Bangkok. Là-bas, on dormait dans un petit cabanon en bois sur la plage. Le premier jour, on a passé l’après-midi à explorer l’île à pied, puis en scooter. Le soir, on a dîné, allongés sur la plage, face à la mer transparente et chaude. Le lendemain, même programme. Au dîner, on a sympathisé avec Luce et Paul, un couple de jeunes mariés, comme nous.
Ils étaient un peu plus jeunes, à peine 25 ans — nous, on a 32 et 30 ans. On s’est tout de suite bien entendus. On a partagé un repas de brochettes, de fruits et de légumes, allongés côte à côte dans l’un de ces petits restaurants qui fleurissent sur la plage. Entre deux bouchées de fruits frais ou de légumes croquants, on se roulait des pelles, jambes nues enlacées. Léa, ma femme, n’arrêtait pas de me chauffer, comme si elle voulait qu’on baise sur place, en public. Enfin, en guise de public, à minuit sur cette plage, il n’y avait plus que Luce et Paul, qui n’étaient pas en reste.
D’ailleurs, tout amoureux que j’étais de ma fraîche épouse, j’étais obsédé par le téton marron de Luce, un cercle parfaitement dessiné sur une peau hâlée, qui dépassait de son débardeur aux bretelles lâches.
Léa, surexcitée, a proposé un bain de minuit. Luce et Paul ont bondi et, avant que j’aie le temps de comprendre, tous trois étaient nus et jouaient à s’éclabousser. Je les ai rejoints dans l’eau. Luce a proposé un combat. Léa a sauté sur mes épaules, je pouvais sentir ses lèvres chaudes, les doux poils fins de sa toison contre ma nuque. Luce a fait de même sur les épaules de Paul. Nos deux petites femmes se sont empoignées par les bras, les hanches, la taille, les seins, comme des sauvages, jusqu’à ce que nous retombions tous les uns sur les autres. Paul et moi nous sommes relevés. Pas Léa et Luce, qui, à mon grand étonnement, restaient collées l’une à l’autre dans l’eau. Elles se sont longuement embrassées. Une nouvelle facette de mon épouse que je découvrais, et je ne m’en suis pas plaint, au contraire…
Paul est retourné s’allonger sur la plage, je l’ai suivi. Les filles se sont attardées avant de sortir de l’eau : deux naïades ruisselantes. Les yeux de ma Léa brillaient d’un éclat particulier. La diablesse… Je l’ai embrassée, elle a saisi ma queue d’une main ferme. De l’autre, j’ai vu qu’elle cherchait Luce, tout affairée sur son Paul. Les deux filles, allongées, se sont fait face et se sont touché les seins, les chattes. Luce était tout aussi entreprenante que Léa. Une vision de rêve. J’ai eu l’impression que ma queue allait exploser si je n’agissais pas vite.
Doucement, je me suis collé contre le dos de Léa et je l’ai pénétrée en cuiller, centimètre par centimètre, provoquant des soubresauts dans tout son corps. Elle avait beau être toute mouillée, elle n’en restait pas moins délicieusement serrée. Les mains de Luce ont frôlé mes couilles. Je lui ai souri, elle s’est mise à les masser plus franchement.
J’ai embrassé la nuque, les cheveux mouillés de ma Léa, puis mes lèvres ont effleuré celles de Luce, et nos langues se sont emmêlées. Sous moi, Léa gémissait, Paul, lui, avait la tête calée entre les cuisses de Luce, et lui faisait subir mille outrages avec sa langue, les mains arrimées aux fesses de Léa. C’était une débauche de gémissements, de cris, de râles qui provenaient de partout. Je me suis retiré avant de jouir, j’ai retourné Léa sur le dos et je l’ai arrosée de grosses giclées de sperme, sur le ventre et sur la figure. Luce, bouche ouverte, a rapproché son visage de celui de Léa pour recevoir le dernier jet.
Après cela, je me suis assis pour contempler les deux coquines s’attaquer à la queue de Paul qu’elles se sont partagée. Cela semblait la chose la plus naturelle au monde. Paul, au moment de jouir, a enfoncé sa bite au plus profond de la bouche de sa femme, qui a scrupuleusement avalé tout ce qu’il lui offrait. C’est ainsi que ces cinq jours en amoureux sur cette plage de rêve se sont transformés en quatuor parfait. Nous avons passé le reste de notre séjour à profiter de la moindre occasion pour partager les joies de l’amour libre. Ce fut un voyage de noces libertin comme jamais je n’aurais osé en rêver.