Ma maitresse, son cul et moi | Désirs coquins

Ma maitresse, son cul et moi

Je ne suis pas marié mais j’ai une relation avec une femme mûre de 38 ans. Elle est prof et par contre elle, est mariée. Son mari est quasiment tout le temps absent ce qui nous laisse énormément de temps pour nous éclater tous les deux. Nous ne sommes pas des bêtes de sexe mais nous avons tous les deux un point commun qui nous fait vivre des moments inoubliables.

Ma maitresse, son cul et moi | Désirs coquinsJe suis raide dingue de son cul et elle de son côté adore que je m’en occupe. Voilà les deux ingrédients réunis pour un cocktail explosif. Je passe des heures à lui bouffer le petit trou et à fourrer ma langue à l’intérieur de ses intestins. La dernière fois que je suis allé chez elle, nous sommes installés sur le lit conjugal. Elle était allongée sur le côté gauche du lit en chien de fusil. Je suis arrivé derrière elle et je me suis allongé entre ses fesses. Je les ai soulevées et j’ai pu admirer son petit trou et sa vulve dégoulinante de mouille. J’ai plongé la tête la première et je suis resté comme ça un petit quart d’heure à renifler ses odeurs intimes. Mais je voyais qu’elle remuait du cul ce qui voulait dire généralement qu’elle avait envie que je la lèche. Je suis parti une première fois de la base de son clitoris et je suis passé avec ma langue très large sur ses lèvres puis devant l’entrée de sa petite grotte tout humide. Je suis ensuite remonté vers son petit trou et je l’ai léchée jusqu’en haut de la raie. J’étais terriblement excité et je bandais comme un fou. Ma bite me faisait mal tellement que je bandais fort.

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Vu que j’avais touché son anus je ne pouvais plus retourner vers son vagin pour des raisons évidentes de risque de maladie. Je me suis donc attardé sur son petit trou. Je vous dis que son cul me rend dingue et le mot est faible. Je lui ai écarté les fesses et je Ma maitresse, son cul et moi | Désirs coquinsfaisais aller et venir ma langue dans son anus. Elle poussait de temps en temps pour me permettre d’aller enfoncer ma langue de plus en plus loin. J’ai senti qu’elle était très excitée et que nous avions peut-être le moyen de faire autre chose. Discrètement mais habilement, je l’ai amenée à se mettre carrément à plat ventre. Je me suis alors emparé d’un coussin que j’ai placé sous ses cuisses. Elle était donc ainsi offerte et en relevant ses fesses j’avais accès à son petit trou qui ne réclamait que moi. Je l’ai léché, sucé et même aspiré. J’ai enfoncé ma langue le plus profondément possible en prenant soin discrètement d’y faire couler beaucoup de salive. Une fois que son petit trou regorgeait de ce lubrifiant naturel, je suis venu présenter mon gland devant son entrée. Je ne lui ai pas laissé le temps de me refuser cette sodomie improvisée que j’avais déjà enfoncé la moitié de ma bite dans son petit trou. Vu la facilité avec laquelle je m’étais glissé à l’intérieur de ses intestins, elle ne pouvait pas dire qu’elle n’en avait pas envie. Pour la petite histoire, je ne l’ai pas baisée par le cul. Je me suis simplement laissé glisser au plus profond de son petit trou jusqu’à ce que mes couilles viennent buter contre sa vulve humide. Elle a alors joué de savantes contractions anales pour nous faire parvenir à l’orgasme tous les deux.

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J’ai joui le premier et je lui ai inondé les intestins de foutre. Mes contractions ont déclenché les siennes et elle a eu un orgasme anal très puissant. J’aime surtout savoir que lorsque son mari rentre chez lui, il ne sait pas que sa femme a encore mon sperme en elle, surtout dans son anus.

Patrice 41 ans

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