Je n’avais pas le temps. Je n’ai jamais eu le temps pour ça. Passée 40 ans, j’étais encore célibataire, je n’avais pas d’enfant, j’avais privilégié ma carrière. J’avais réussi professionnellement. J’étais, à l’époque, le stéréotype de la working girl, toujours en tailleur et je me contentais d’aventures grâce à des rendez-vous pour le travail. J’étais très entourée d’hommes mais aucun d’entre-eux ne m’avait réellement fait ressentir quelque chose. De toute façon, j’étais trop occupée pour penser à ça.
Je plaisais et je le savais. Autour de moi, je voyais bien ces regards dirigées vers ma poitrine. Il faut dire que la nature m’avait gâtée de ce côté là. J’aimais ça, j’aimais être observée. Les hommes à mon travail avaient du respect pour moi, j’étais leur boss, je contrôlais tout dans ma boite. Aucun d’entre-eux n’auraient eu le courage de me faire des avances, j’étais le chef. Point.
J’étais très bien entourée. Mes amis, des artistes pour l’essentiel, aimaient sortir dans des lieux originaux et parfois plutôt exotiques. On passait de très bons moments ensemble, ma vie était assez bien remplie pour pouvoir me passer d’un homme. En y repensant, je n’étais jamais seule.
Un couple d’ami qui savait que j’aimais les plaisirs de la chair, me proposa une fois de tenter l’expérience d’un bar libertin. Je n’y voyais pas de mal à ça, ce milieu est plutôt peuplé de personnes assez érudites et intéressantes. Rien ne m’aurait obligé à coucher avec qui que ce soit. J’acceptais par curiosité, j’étais toujours avide de nouvelles expériences.
Ce weekend là, cet endroit proposait le thème de la mini-jupe. Rien d’extraordinaire à ça, je portais ça tous les jours. Il ne fut alors pas bien compliqué de trouver un petit ensemble, un peu plus sexy que d’habitude. L’occasion était belle pour mettre un beau décolleté et un porte-jarretelles. Je voulais me faire belle.
Arrivés au « 69 Club », mes amis et moi allèrent directement commander un verre au bar. Probablement pour se détendre un peu, nous n’avions pas l’habitude de ce genre d’endroit. Après quelques cocktails, l’ambiance était plus sereine. Des gens venaient nous parler, nous échangions sur le sexe et les choses que nous avions déjà essayé. Je réalisais alors que ma vie privée était assez basique. Je me contentais de rapports assez mécaniques, « pour l’hygiène ».
Je n’étais pas coincée, je n’avais juste jamais pris le temps d’explorer ma sexualité. Je me masturbais que très rarement, uniquement lorsque je n’avais rien à me mettre sous la dent. Je croyais ne pas avoir une libido exacerbée jusqu’à ce soir là.
J’avais remarqué cet homme, qui me matait plus loin. A chaque fois que je le regardais, il détournait le regard et continuait à parler avec ses amis. Je connais les hommes, je lui plaisais. Il me fallait trouver un moyen de l’aborder. Peut-être était-il un peu timide ?
Plus tard dans la soirée, la plupart des gens, enivrés par l’alcool, dansait sur une petite piste pas très grande. Je n’ai jamais été très « boite de nuit ». Je ne dansais pas. L’homme au fond du bar, lui aussi, était assis, seul, et regardait ses amis faire les imbéciles, il rigolait. Je me décidais alors à aller l’aborder :
» — Toi aussi, la danse ça n’est pas ton truc ?
— Non, effectivement ! Tu veux boire un verre ?
— Volontiers ! »
Il commanda alors deux verres de champagne et entama la discussion :
» — Tu ne viens pas souvent ici, je ne t’ai encore jamais vu.
— Non, ce sont des amis à moi qui voulaient essayer, je les ai accompagnés.
— Et toi ? Tu n’as pas envie d’essayer ?
— Pourquoi pas… Ça dépend surtout de qui je vais trouver pour ça.
— Tu m’as trouvé, moi. Je te plais ?
— Oui, tu es plutôt beau. Tu viens souvent ?
— Régulièrement, le patron est un ami. »
Il connaissait le milieu, moi j’étais un peu étrangère. Il m’expliqua comment se passaient les choses, les rencontres qu’il avait pu faire ici et les ce qu’il avait déjà essayé. Je me sentais vierge, j’avais l’impression d’être passée à coté de tellement de choses. Je l’écoutais raconter ses expériences, la plupart d’entre-elles me plaisaient, je n’avais jamais fait tout ça. J’étais curieuse :
» — Il y a des trucs que tu n’as pas encore fait ?
— Oui mais surtout parce que je n’ai pas trouvé une personne qui accepterait.
— Et qu’est-ce que c’est ?
— J’aime dominer, j’aimerais une femme qui m’obéisse.
— Quelles genre de choses tu voudrais qu’elle fasse ?
— Tout. Absolument tout. »
Il me décrivait alors son envie d’attacher sa partenaire, de lui donner des ordres et de lui donner des coups de fouets. Je ne connaissais pas ces choses là mais je sentais ma petite culotte en dentelle devenir de plus en plus humide à force d’aborder le sujet. Je serrais mes cuisses, un peu gênée, je l’avoue. Il me proposa alors d’aller chez lui continuer la soirée. Le bar allait fermer dans 4 ou 5 heures et mes amis semblaient avoir trouvé un autre couple pour s’amuser. J’allais leur dire au revoir et nous quittions le lieu.
Antoine n’habitait pas très loin, il me proposa d’y aller à pied. Sur le chemin, il continuait à me parler. Je ne l’écoutais plus trop, mon esprit était rempli d’images et d’un désir nouveau. Arrivé chez lui, il me proposa de m’installer sur son canapé et m’offrit un verre. Il s’absenta une minute et lorsqu’il revint, il posa sur la table un martinet :
» — Tu vois, je suis déjà équipé.
— Ça doit faire mal, non ?
— C’est le but.
— Tu veux essayer avec moi ?
— Oui, si tu en as envie.
— Je suis assez excité, pour ne rien te cacher. »
Il glissa sa main directement sous ma jupe et toucha ma culotte :
» — En effet, tu es toute mouillée. C’est moi qui te donne envie ?
— Oui.
— Il va falloir être très obéissante alors.
— D’accord.
— Je veux que tu te caresses devant moi. »
Il se recula un peu. Il attendait que je m’exécute. Le jeu me plaisait. Je remontais un peu ma jupe et passais ma main dans ma culotte. Je me caressais et lui, me regardait en posant sa main sur son pantalon, il bandait déjà. Je n’avais jamais fait ça. J’écartais alors les jambes, j’aimais être matée. Lui aussi, commençait à se caresser. Ça me plaisait de l’exciter comme ça. Il se leva et me demanda de le sucer. Je n’avais plus mon mot à dire, je devais être sa soumise. J’étais là pour ça.
Je me mise à le sucer à genoux, tout en continuant à me caresser le clito. J’était tellement mouillée que la cyprine commençait à glisser sur mes cuisses. Il aimait ce que je lui faisait. Il bandait fort. Après quelques minutes :
» — Maintenant, je vais t’attacher sur mon lit.
— D’accord. »
En nous dirigeant vers sa chambre, il me mit une fessée. Sur le moment, j’ai cru que j’allais jouir. Mon corps se mit à frissonner. Je m’allongeais et il sorti d’un tiroir des cordes méticuleusement bien rangées. Il commença à m’attacher les mains autour du cou. Il savait ce qu’il faisait, les nœuds étaient parfaitement maîtrisés, il était précis dans ses gestes, il s’était entraîné pour ce moment. Il attacha ensuite mes pieds à son lit, j’avais les jambes écartées.
Il passa délicatement son martinet sur mon corps. Il avait un coté sadique, j’avais un peu peur mais je savais que je pouvais lui faire confiance. D’un geste brusque, il me donna un coup sur la poitrine. J’avais mal mais cela me faisait aussi de l’effet à l’entre-jambe.
» — Tu aimes ça, hein ?
— Oui, continue. »
Très précis, il me donnait des coups de martinet sur mes cuisses et ma poitrine. Je commençais à être marquée. Des traces rouges apparaissaient sur mon corps. Lui, toujours en érection, bandait de plus en plus dur. Je sentais son sexe toucher ma peau par moment. J’aimais l’idée de lui faire encore plus envie ainsi. J’étais son esclave.
» — Je vais te baiser.
— Oh oui ! Viens !
— Je veux que tu me dises que tu es une pute.
— Je…
— Obéi !
— Je suis une pute ! »
Il glissa alors trois doigts dans ma chatte, il ne voulait pas prendre de pincette avec moi et j’aimais ça. Il commença à me branler violemment. Je mouillais tellement que j’éclaboussais son torse, ça lui plaisait de me faire ça. Il se mit alors à me lécher, c’était tellement intense que je me tordais de plaisir mais je ne pouvais plus lui interdire quoi que ce soit, j’étais attachée.
Alors que je jouissais, il continuais à me lécher encore plus fort. Je n’en pouvais plus, c’était trop fort pour moi :
» — Arrête !
— Ce n’est pas toi qui donne les ordres.
— Je n’en peux plus.
— C’est moi qui te dira quand tu n’en pourra plus. On est bien d’accord ?
— D’accord. »
Tout en me pénétrant, il pinça très fort mes tétons qui étaient encore un peu douloureux. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. J’avais mal mais je prenais du plaisir en même temps. Mes sens étaient affolés. Je croyais bien me connaitre mais ça n’était pas le cas. J’aimais être brutalisée comme il savait si bien le faire. L’espace d’un moment, je n’étais plus une femme mais son jouet.
Toujours attachée, les jambes écartées, il commença alors à faire des mouvement de va-et-vient. Il allait au fond de ma chatte, il était violent mais je prenais mon pied. De plus en plus excité, il me donnait de temps à autre des petites claques sur les seins pendant qu’il me baisait. Je me sentais venir :
» — Je vais jouir !
— Non, tu jouiras que lorsque je te le demanderai. »
Il s’arrêta un instant, il avait compris que j’étais à bout. Il se retira et se mit à me lécher les seins. J’étais au bord de l’explosion, lui aussi. Il s’occupait bien de moi, il ne voulait plus me faire mal. Il me caressait partout, ma peau était devenue très sensible après tout ces coups.
» — J’ai envie de jouir dans ton cul.
— Tout ce que tu veux. »
Je ne discutais plus ses ordres, j’étais entièrement à lui. Il commença à pénétrer mon autre trou. J’avais déjà pratiqué la sodomie mais sa bite était très grosse mais il me la mit entièrement. Pendant qu’il m’enculait assez rapidement, il me branlait et glissait parfois un doigts dans ma chatte. Je montais, je ne pouvais plus me retenir :
» — Je vais jouir !!!
— Moi aussi, ma belle…
— Encule-moi bien ! Vas-y ! »
Tout deux étions arrivés à la frontière du supportable et c’est sur des cris synchronisés que nous avons joui ensemble. Je sentais son foutre remplir mon cul, ma chatte se contractait de plaisir. C’était surréaliste, je n’avais jamais connu une telle jouissance.